Originaire de Mbuji-Mayi où il est l’un des princes héritier des "BAKWA NSUMPI " et propriétaire des terres.

 

REX KAZADI KANDA est le fils d'un Magistrat NANSHABALOWA KAZADI MATHIEU, diplômé de l'ENM-Paris ;

Sa mère BAMBO MATSHINGI LILIANE originaire de Bumba à l’Equateur, elle fut assistante commerciale et agent  immobilier en région parisienne.

 

Dès sa tendre enfance  il assiste aux réunions de l'opposition politique congolaise en compagnie de son père qui est président fédéral de l'UDPS en France, il en sera profondément marqué.

Rex KAZADI KANDA est l'aîné d’une fratrie de cinq enfants: il a deux frères et deux sœurs est lui même père de cinq enfants.

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Arrivé en France à l'âge de 9 ans, c'est à St-Étienne qu'il va poursuivre et terminer sa scolarité primaire débutée à Kinshasa à l'École Massamba à Lemba puis Bambino à Matete. Il entre au collège d'abord à Saint -Étienne puis à Tours à la suite de la séparation de ses parents !

 

À Saint-Étienne, il est inscrit au théâtre de la ville où il joue dans plusieurs pièces avant de s'essayer à la musique RNB à Tours!

Il sortira deux Albums Rap, BDJ et Reste à l’écoute..., avant de signer un contrat avec une maison de disque américaine à Los Angeles où il séjournera pendant presque une année. Au chapitre sportif, c'est à Tours qu'il pratique la boxe Anglaise, il en sera vice-champion de France à 15 ans.

Face à la montée du mouvement raciste de crânes rasés et à l'insécurité ainsi créé pour les noirs en France dans les année 90's, il fonde avec ses amis le groupe «black- dragons junior » (BDJ) afin de défendre les noirs de France victime de violences racistes. C'est à cette même époque en 1995  qu'il rentrera dans la nation of Islam de l'Honorable Louis Farakann. Ce qui changera radicalement sa manière de penser et de combattre le racisme, plus rien de sera comme avant.

La figure de Malcom X  est et restera un modèle de lutte pour lui. Son activisme, la pousse à s'engager politiquement en tant que sympathisant du parti socialiste avant de créer son association ARPS (action républicain pour le progrès sociale). En parallèle, il abandonnera ses études, fera une formation de technicien preneur de son. Sorti de sa formation, il travaille pendant deux ans au studio 77 record de Mariano Beuve qui deviendra aussi son producteur, tout s'arrêtera à la mort de celui-ci. Il fait quelques boulots dans la sécurité (boite de nuit studio 45) puis une formation en sécurité rapprochée en zone sensible à Secopex, avant de s'engager à la légion étrangère (l'armée française!) Il ne restera pas car la légion est incompatible avec sa vie de famille. Amoureux de l'image, il suit et termine avec succès une formation en graphisme et montage vidéo.

Guidé par une âme de leader, c'est naturellement vers le combat contre les injustices qu'il se tourne une passion qu'il exerce avec zèle en milieu associatif.

 

Les émeutes de Villiers-le-Bel en 2007 permettront à toute la France de connaitre cet homme qui se bat pour la justice et le retour au calme après la mort de deux jeunes de la cité Mushine et Laramy.Il se fera remarquer par TF1 qui fera un reportage sur la ville et sur sa vie avant de se faire à nouveau remarquer par Nicholas Sarkozy qui l'invitera lors d'un débat télévisé puis  à l’Elysée.

Fort de cette notoriété, il en profitera pour se lancer dans le combat pour la reconnaissance du génocide congolais (8 millions de morts)

Ses premiers pas en politique congolaise, il les fera en 2004 avec son ancien mentor et ami Emmanuel Ilunga dans l'APR (Action Républicain pour le progrès). Trouvant l'ARP trop théorique il préféra crée le BPK en 2011 (Ba patriotes Ya Kongo) avec Patrick Luzayday dans le mouvement des combattants

Après quatre années d’action, le mouvement BPK se mue en parti politique en 2015 l'objectif est de conquérir le pouvoir afin de changer  réellement les choses à l'instar de ses modèles Thomas Sankara ou Jerry Rawlings